LInitiation Saphique DUne Adjudante - Éloge De La Candeur (13)
Linitiation saphique dune adjudante - Éloge de la Candeur (13)
Résumé des chapitres précédents : Sandy, une jeune femme, mariée à un rustre est déniaisée par Paul qui a presque le double de son âge. Entrainée chez un couple de quadras, elle assiste à leur débauche débridée et se retrouve, à participer à cette orgie. Sur la route du retour, à sa grande surprise, Paul découvre les dispositions masochistes de sa compagne. Lorsquils font connaissance dun couple britannique, Sandy goûte avec plaisir aux ustensiles de discipline du lord anglais. Alors que Sandy se fait violer par une bande de jeunes loubards dans un relais dautoroute, elle est soignée par un adjudant de gendarmerie féminin dans ses chairs les plus intimes pendant que ses hommes recherchent les violeurs.
Prenant les choses en main, la belle « Adjudante », nettoie délicatement avec une éponge l'entrejambe de Sandy ; le sexe, les fesses et même la raie culière, se retrouvent ainsi débarrassés de l'urine qu'elle n'avait pu s'empêcher d'évacuer. Sans oublier les sueurs et les moiteurs qu'elle avait produites en abondance sous la panique qui l'étreignait, durant les copulations quelle subissait contre sa volonté. La gendarme, lui essuie avec une serviette douce la peau irritée, puis, prenant dans ses mains un onguent émollient, elle l'applique dans l'entrecuisse. Les chairs intimes sont enduites d'une lotion adoucissante ainsi que l'intérieur des cuisses, puis, le mont de vénus, les lèvres vaginales et le clitoris, son,t massés par les doigts habiles du sous-officier. Les chairs tressaillent sous les attouchements qui se font de plus en plus précis. Sandy halète aux effleurements précis des doigts féminins et ondule d'un plaisir qu'elle ne peut s'empêcher d'exprimer.
- Oh Oui ! Continuez madame, je vous en prie, merci, merci, c'est bon, vous me faites du bien, continuez. Je vous en prie n'arrêtez pas. Oui !.
Le sous-officier féminin, Michèle Forestier est infiniment troublée par la réaction de cette jeune femme qui vient de se faire violer ignoblement par des gamins. À son corps défendant, elle ne peut s'empêcher d'entreprendre de caresser habilement la femme qui vibre sous ses mains. Elle laisse ses doigts parcourir lentement le chemin qui mène de la chair si douce et si tendre de l'intérieur du haut des cuisses jusqu'à la vulve entrouverte. Sandy gémit sous les attouchements qui se font de plus en plus précis. Les doigts explorent le tour du vagin, frottent légèrement le capuchon du clitoris et certains se glissent dans la vulve qui s'entrouvre. L'adjudante, dans un état second, réalise que la fente dans laquelle ses doigts plongent, est bouillante et qu'elle s'humidifie de la mouille que la jeune femme secrète abondamment. Confondue par ce quelle ose faire, elle caresse maintenant le clitoris qu'elle a décapuchonné entre deux doigts. Sandy halète maintenant du plaisir qu'elle contient à peine et ses jambes s'agitent en cadence. Michèle caresse tout doucement le bouton d'amour faisant pousser de petits cris à la jeune femme.
- Oh ! Oui, oui, doucement Madame, continuez, je vous en prie. Oh ! Que c'est bon, j'adore, vos doigts sont si doux. Oui ! Oui ! Encore Oh ! Ouiiiiiiiii.
L'adjudante est médusée par son audace, mais, troublée plus quelle ne voudrait, elle ne peut plus s'arrêter, excitée par ce qu'elle a entrepris et par la langueur qui la submerge. Surtout que Sandy a glissé une main sous la jupe de la militaire, ses doigts effectuant une reptation le long des cuisses que ladjudante entrouvre inconsciemment, déconcertée par l'effronterie de la jeune femme. Les doigts qui courent sur sa peau écartent les replis de la culotte et s'infiltrent vers le pubis, farfouillant dans lépaisse toison brune et la faisant tressaillir. Cet attouchement voluptueux, provoque dans linstant une mouille déjà abondante.
La femme gendarme abandonne toute retenue, se souvenant brusquement, dans une réminiscence presque oubliée, de son adolescence et d'une certaine « Marjorie » qu'elle a connue en pension. Elle profite de la position de la jeune femme pour lui embrasser l'intérieur des cuisses à l'endroit où c'est le plus tendre, faisant gémir Sandy de plaisir. Michèle hume le fumet qui se dégage du bas-ventre et elle ose poser ses lèvres sur le sexe féminin. Elle se traite de folle, elle voudrait se reprendre, mais la tentation est la plus forte, sentant son propre ventre de femme qui ondule sous la pression des doigts qui la nt délicieusement. Oubliant toute réserve, elle darde sa langue et la glisse entre les parois étroites de la vulve et lèche avec vigueur la liqueur vaginale qui s'écoule abondamment de la chatte sollicitée. Sa langue après avoir goûté et aspiré le foutre féminin remonte vers le clitoris puis, le prenant entre ses lèvres, elle le suce voracement. Cette fois Sandy qui se trémoussait jusqu'ici éprouve de brusques soubresauts. Ses sécrétions vaginales giclent dans la bouche de l'adjudante, sa surexcitation lui faisant pousser des hurlements et crier sa jouissance à l'encan.
- Oh ! Oui ! Madame. Oh ! Je
je
vous
, c'est délicieux, continuez ma chérie, pardon Madame, oui !. N'arrêtez pas surtout, bien au fond... Oui ! Ah ! Oh ! Oh ! Oh !........... Non ! Noon ! Oui ! Oh ! Je jouis, je jouis, je jouis. Oui !.... Oui !.... Oh ! Ouiiiii.........
Paul ébahi, reste coi, assistant avec une certaine émotion à ce spectacle auquel il n'a pas été invité. La pièce dans laquelle ils se trouvent est très sombre, et il a pu depuis le début des attouchements prendre un certain nombre de clichés, avec son appareil photo numérique qui est très silencieux.
Soudain, « l'adjudante » sent quelque chose d'humide qui envahit sa vulve. Il lui faut un certain temps avant de comprendre que ce sont des lèvres et une langue qui fouillent dans ses chairs intimes. Elle est horrifiée par ce qu'on lui fait, mais elle ne peut s'empêcher d'avoir tous ses sens en effervescence, ses chairs étant stimulées par la caresse linguale qui s'introduit dans les plis de sa vulve et qui lape le bouton devenu congestionné de son clitoris. Elle soupire sous cette délicieuse, découvrant avec stupéfaction et jubilation un plaisir charnel qu'elle était loin d'imaginer, se remémorant quavec son amie de quinze ans, elles s'étaient seulement masturbées quelquefois innocemment. Elle pousse de petits cris, ne sachant plus comment arrêter ces attouchements diaboliques. La jeune violentée aspire son clitoris avidement, ses lèvres sucent le bouton décapuchonné qui grossi démesurément alors que sa langue titille le bourgeon turgescent. La femme gendarme halète et pousse un râle de plaisir contenu, sanglotant de honte et de bonheur mélangés.
- Oh ! Oh ! Non arrêtez, Oh ! Oui, continuez, encore, encore, Oh ! Non ! Mon Dieu. Oh ! J'ai honte. Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oooh........... Non ! Noon ! Oui ! Ouiiii......, Nooon ! Ah ! Ah ! Ahrrr !
Sandy a réussi à retirer la jupe de l'adjudante qui maintenant offre une vue imprenable sur des fesses assez charnues, ainsi que sur les poils sombres qui émergent de la raie anale. Paul ne se prive pas de les photographier discrètement en toute impunité. La belle « gendarmette » est rouge cramoisie de ce qu'elle se sait en train de faire, mais elle a perdu toute volonté, aussi cest dans un état brumeux quelle déboutonne sa chemise d'uniforme et dégrafe son soutien-gorge, se retrouvant bientôt dans la même tenue de la femme avec laquelle elle se gouine.
Dire que c'est la première fois qu'elle touche une autre femme de cette façon et qu'elle se fait lécher et dévorer ses parties intimes. Même son mari ne le lui a jamais proposé. Elle s'étend entre les jambes de Sandy, lui bouffant littéralement la chatte pendant que celle-ci en fait autant à son endroit. Celle-ci lui fouille la matrice impitoyablement, accentuant la masturbation linguale, voulant que cette femme, qu'elle sent novice, perde la réalité de ses sens. En effet, celle-ci, caressée, mordillée, léchée, embrassée sur toutes les parties érogènes de son corps n'en peut plus. Elle râle de leuphorie qui la gagne et hurle son bonheur, suppliant la jeune femme qu'elle arrête, car elle nen peut plus de jouir. Lorsquun second orgasme la saisit, elle agite son bas-ventre dans tous les sens, essayant d'échapper à la jouissance qui se propage dans son corps et lui devient insupportable.
- Oh ! Non, arrêtez, je vous en supplie, Oh ! ...Oh ! Non ! Pas ça. Non ! Ah !. Ah! Oui! ...Non !.. Oh !. J'ai honte. Non !.... Oh ! Oh ! Ooooh........... Non ! Noon ! Oui ! Ouiiii......, Nooon ! Ah ! Ah ! Ahhrrrrr.
Sandy, galvanisée par cette situation nouvelle pour elle, savoure le pouvoir qu'elle découvre de se savoir capable de dominer par les sens une autre femme qu'elle devine à sa merci. Elle gobe et dévore le clitoris, le suce avec force et même, surexcitée, le mordille et le croque pour de bon de temps en temps. La femme gendarme gigote et clame son bonheur hystérique. Puis, affolée par la jouissance stupéfiante qu'elle subit, elle plonge sa langue dans le vagin dégoulinant de la jeune femme qui lui bouffe littéralement ses chairs enflammées, faisant aller sa langue jusque dans la raie culière et léchant la rosace de l'anus.
Les deux femmes se font un magnifique soixante-neuf et se gamahuchent comme des bacchantes en folie. Elles vont dorgasme en orgasme, chacune ne voulant pas arrêter la première. Elles se déchaînent, se malaxent et se tripotent ardemment dans une étroite symbiose. Sandy qui a pris goût aux dépravations que lui fait subir Paul, ne peut s'empêcher d'ouvrir un passage dans la rosace de Michèle avec son majeur, recouvert des sécrétions du vagin qu'elle broute. Ladjudante, toute à ses agissements licencieux est déconcertée par cette introduction dans son intimité rectale. Ayant perdu tout repère et ne voulant pas être en reste, elle force avec deux doigts l'anus de Sandy, s'enhardissant à fourrager à l'intérieur avec une impudence graveleuse. Cette fois les deux femelles sont au diapason lorsque Sandy lance à la gendarme.
- Continue ma chérie ! Tu me fais du bien ! Oh que c'est bon ! Ne t'arrête pas je t'en supplie continue !
- Je vous en supplie, arrêtez, que me faites-vous ? Je ne veux pas, Oh ! C'est incroyable, Oh ! Oh ! Oh !. Non ! Pas ça. Oh ! Non ! Oh ! Mon Dieu, jamais, jamais je n'aurais pu croire que cela m'arriverait. Noon ! Oui ! Ouiiiii......, Ah ! Ah ! Ahhhhrrrr......!.
En fait la volupté inhumaine que ladjudante ressent devient tellement insupportable qu'elle s'évanouit, s'effondrant dans un semi-coma. Paul en profite pour entrer dans le bureau, après avoir fermé à clé la porte de la première pièce. Il se déshabille en un tour de main et prenant son appareil photo, il fait encore quelques gros plans de l'adjudant féminin de la gendarmerie nationale, puis il branche son photoscope sur l'ordinateur, le manipulant rapidement pour faire apparaître une première image. Enfin, s'agenouillant auprès de la plantureuse gendarme, étendue dans une tenue très impudique sur le lit de camp, il lui embrasse ses seins opulents, suçant les mamelons l'un après l'autre pendant que Sandy a repris son gouinage dans son entrejambe. L'adjudante refait surface soudainement en voyant un homme penché sur sa poitrine nue, elle se reprend dun coup et l'interpelle d'une voix forte.
- Que faites-vous ici. Voulez-vous bien sortir immédiatement. Je vais vous faire arrêter par mes hommes. Quel culot !
- Je suis désolé mon adjudant. Voulez-vous regarder l'écran de votre ordinateur. Je vous signale avant toute chose que j'ai mis la carte mémoire en lieu sûr, mais je vous en laisse une copie que j'ai enregistrée sur votre disque dur. Je ne pense pas que votre commandant de groupement apprécierait ce que vous allez voir.
Ce faisant, Paul fait défiler les nombreux clichés qu'il a pris tout au long des ébats de l'adjudant. Foudroyée par ce quelle découvre, elle seffondre soudainement, et éclate en sanglots, brisée par toute la tension nerveuse et la jouissance incroyable qu'elle vient de connaître. Sandy essaie de la consoler tout en l'embrassant aux coins des lèvres. Paul lui murmure des paroles apaisantes, lui demandant seulement de participer à leurs jeux. Il lui promet de lui renvoyer la mémoire flash si elle se montre coopérative. La gendarme, résignée, accepte de se prêter à tout ce qu'il voudra du moment que ses chefs et surtout sa famille n'en sachent rien.
- Faites de moi ce que vous voulez, mais je vous en supplie, que mon mari et mes s ne soient pas au courant, ni mes supérieurs, ma carrière serait fichue.
- Attention, vous êtes bien d'accord pour tout ?
- Je vous le répète, j'accepte par avance tout ce que vous allez vouloir me faire.
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!